Kalamus Guadeloupe : CFA Sport - Animation - Touri

Kalamus Guadeloupe : CFA Sport - Animation - Touri

Patrice Alexis, nouveau Président du CFA

Par ailleurs Président de la Ligue Régionale de Guadeloupe de Basket, Patrice Alexis vient d'être élu à la Présidence du Centre de Formation par l'Apprentissage Kalamus Guadeloupe, en remplacement de Michel Guillet, démissionaire.

 

 

Lors de la même éléction, Jocelyne Pagliano, Secrétaire Général de l'Association Olympique Lyonnais a été éle à la Vice-Présidence du CFA, ce qui, compte tenu des développements futurs du CFA dans le Football, constituera un véritable atout.

 

 

Enfin, Bernard Judith, Président de Promo-Sports-Loisirs, structure qui porte le projet de la création d'une antenne de Profession Sport pour la Guadeloupe, a été nommé administrateur du CFA.

 

Les organes de gouvernance du CFA s'en trouve donc confronté avec d'une part une association plus profonde du mouvement sportif local, non sans ignorer la nécessité de construire le plus solide des réseaux jusqu'en métropole.

 


10/03/2013
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Notre parrain, Mickael Gelabale, brille en NBA

19 points pour Mickael hier en NBA.

 

Les Higlights de ce match


10/03/2013
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Emploi d'avenir et apprentissage

Le lancement du dispositif emploi d'avenir et les hautes ambitions de tous les partenaires publics qui l'entourent questionnent évidemment les acteurs de l'apprentissage. Et notamment ceux évoluant dans le secteur non-marchand, celui des Associations, dés lors que les aides dans ce secteur seront conséquentes et constitueront une alternative attractive à l'apprentissage pour tous les employeurs. C'est le cas du CFA Kalamus Guadeloupe.

 

D'autres se sont penchés sur la question : http://www.atlantico.fr/decryptage/emplois-avenir-encore-choix-ephemere-fait-au-detriment-question-fondamentale-formation-en-alternance-jerome-rocquigny-491175.html. Au titre d'acteur de la politique régionale de formation, nous nous refuserons à entrer dans toute forme de polémique. Mais certaines réalités sont incontournables.

 

Ainsi, un salarié recruté dans le cadre d'un emploi d'avenir coutera moins de 450€ mensuels à un employeur tandis qu'un apprenti coûte, en moyenne, autour de 750€ au même employeur. Et ce sans prise en compte des aides locales que certains acteurs locaux guadeloupéens ont déjà annoncé.

 

La menace que le dispositif d'emplois d'avenir vienne percuter celui de l'apprentissage est donc à prendre au sérieux. Au seul détriment des CFA ou aussi à celui des employeurs du secteur de la vie associative sportive et des jeunes en insertion dans le dit secteur.

 

La conviction que nous portons au sein du CFA Kalamus est que le modèle d'organisation et de financement du mouvement sportif français a fait long feu. Et qu'il doit se ré-inventer. La Cour des Comptes n'a pas dit autre chose dans son récent rapport. D'une situation de dépendance à l'égard de la collectivité locale dont il reçoit plus de 2/3 de ses ressources, le club sportif doit tendre vers une émancipation financière. Ou il mourra puisque les collectivités ne pourront plus suivre trés longtemps.

 

Cette émancipation passera inéluctablement par la professionnalisation des structures et donc la recomposition de la gouvernance des associations. Il ne s'agira pas d'en faire fuir les quelques bénévoles qui restent, mais de les accompagner par de la compétence nouvelle pour par exemple positionner les clubs comme prestataires de service de communes qui auront bientôt à faire face, en plus, à la refonte des rythmes scolaires et à la nécessité d'encadrer les activités péri-scolaires.

 

Or, le processus par lequel le bénévole va "lâcher de son pouvoir" n'est pas facile à enclencher. C'est humain et on ne peut pas l'en blamer. Mais donc il faut faire naitre dans les clubs une vraie réflexion sur le fond quant à cette réorganisation, quant à ce changement de culture. Et il est à craindre qu'en offrant la facilité aux clubs d'accueillir une jeunes sous emplois d'avenir sans que cela ne lui coute rien, on ne fasse que mettre un emplatre sur une jambe de bois, on ne fasse que traiter les effets et pas les causes.

 

A contrario, en se lançant dans le recrutement d'un apprenti, un club s'engage inexorablement dans la voie d'une réforme salutaire. Et puisque cet apprenti sera a priori mieux formé qu'un jeune sous emploi d'avenir, mieux accompagné aussi par le CFA qui continuera ses efforts dans le domaine,  cela se fera dans des conditions de compétence optimisées.

 

Le mouvement sportif guadeloupéen doit se souvenir avoir accueilli en leur temps des emplois jeunes. Pour le plus grand bénéfice des jeunes concernés puisque plus des 3/4 de ceux-là avaient obtenu un emploi à échéance de leur contrat aidé. Mais par contre, ceux de ces jeunes qui sont restés dans les structures, qui ont dans la durée contribué à leur développement se compte sur les doigts d'une main. Les autres sont partis à la fin de leur contrat, parce que les clubs, à défaut d'avoir changé leur modèle, ne pouvait plus les payer. Et les clubs sont restés dans la même situation problématique.

 

"Ce qui est gratuit n'a pas de valeur" disait mon grand-pêre. Accueillir un jeune sans que cela coûte àç la strucutre d'accueil, c'est à coup sûr lui rendre service. Ce n'est pas à coup sür rendre service à la structure.


23/01/2013
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Vers une incontournable refonte du modèle de financement du Sport

La cour des comptes vient de rendre son rapport sur le financement public du Sport.

 

article du Point

 

Il ne fait désormais plus de doute que le modèle de financement du sport qui prévaut depuis les années 60 doit être repensé. Et que les associations sportives auront aussi à sortir de leur schéma d'organsation pour se projeter vers de nouveaux équilibres, de nouvelles ressources.

 

Les défis sont nombreux pour le mouvement sportif : positionner les clubs sportifs comme de potentiels prestataires de service dans le cadre de la prochaine refonte des rythmes scolaires, gérer la complexité administrative croissante dans la gestion d'un club, régénérer le bénévolat et faire face à la raréfaction des élans bénévoles, partir à la conquête de financements privés non plus sur les bases d'une illusoire médiatisation mais plutot dans une logique de valorisation de la portée sociale de son action, laquelle pourrait rencontrer les logiques de RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) qui se répandent dans le secteur privé.

 

Pour faire face à tous ces défis, il est indispensable que le mouvement sportif se dote des compétences adéquates. Qu'il se forme. Qu'il se professionnalise. A ce titre, les démarche entreprise par le CFA Kalamus Guadeloupe prenne tout leur sens. Pour peu qu'elles trouvent l'écho nécessaire auprés des partenaires publics et que la perspective des emplois d'avenir ne les éloigne de la mise en oeuvre d'une démarche de structuration pérenne.


17/01/2013
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Mike Gelabale, parrain du CFA Kalamus Guadeloupe

En marge de l'annonce de son retour en NBA, Mike Gelabale a indiqué être devenu le parrain de la 1ere promotion du BP JEPS SPORT CO du CFA des métiers du Sport, de l'animation et du Tourisme de la Région Guadeloupe, Kalamus Guadeloupe.

 

 

 

"C'est important pour moi de renforcer le lien avec mes racines au moment où j'effectue mon rebond en NBA". Originaire de Pointe-Noire, Mike Gelabale a accumulé prés de 90 sélections en Equipe de France, a déjà joué109 matches en NBA et a notamment remporté l'Eurocoupe en 2012 avec Moscou.

 

Au sujet du CFA, il ajoute que "dès que les personnes de Kalamus Guadeloupe m’en ont parlé,  je leur ai dit que je voulais m'investir dans le programme. C’est un honneur de devenir le parrain de la première promotion de la formation d’assistant-agent de développement de clubs sportifs. Et une responsabilité. Je veux vraiment m’impliquer auprès des jeunes en formation, auprès des clubs guadeloupéens et de la Ligue Régionale. Nous travaillons d’ailleurs avec la Ligue Régionale et le CFA à d’ambitieux projets que nous aurons l’occasion de vous présenter bientôt dans le détail. Les jeunes en formation et les employeurs auront un rôle central à jouer dans ces projets. Au service du développement du Basket qui doit retrouver ses lettres de noblesse dans notre archipel.  En tant que fan de Basket guadeloupéen, j’attends beaucoup de ces apprentis. Mais l’histoire leur appartient. A eux de l’écrire.»

 

Rappelons qu'avec Mike Pietrus, Johan Petro, Rodrigue Beaubois et Mike Gelabale, les joueurs guadeloupéens constituent un des plus forts contigents étrangers de la NBA. "On pourrait sans doute faire plus et mieux" indique Mike Gelabale, "Mais cela suppose un travail de fond sur plusieurs années pour lequel on aura besoin de gens formés et compétents. C'est pour cela que le CFA est important pour l'avenir de notre Basket".

 

 


16/01/2013
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